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Forteresses France
7 février 2010

Brethencourt, fief des Montfort

BRETHENCOURT

FORTERESSE de Guy de Rochefort dit "le Rouge"

SAINT ARNOULT - GAUVILLIERS - CLAIREFONTAINE

La région entre Montfort et Rochefort tome II

I Situation géographique :

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II Contexte géopolitique et historique :

La commune de Saint-Martin-de-Bréthencourt se trouve dans le sud des Yvelines, à la limite entre les régions naturelles de Beauce et du Hurepoix. Elle confine vers l'est avec le département de l'Essonne. La commune est irriguée par l'Orge qui y trouve sa source et par un affluent de rive gauche de celle-ci, le ruisseau des Bois (3,9 km) qui prend sa source au centre de la commune. L'Orge marque sur quelques kilomètres la limite avec la commune de Corbreuse.

Au Moyen âge, le village, dénommé Bréthencourt, prend pour patron saint Martin. Anciennement "Bretencourt", "Breteucourt", "Bertrand-Court", la seigneurie de Bréthencourt fut dépendante de la châtellenie des Rochefort. Au XIe siècle, Guy le Rouge fait bâtir un imposant château fort sur l'éperon qui commande la vallée de l'Orge à la frontière du domaine des Monthléry-Rochefort et des Montfort, en face de Dourdan, fief des Capétiens. Cette construction complète la ceinture fortifiée du sud de Paris qui va de Châteaufort à Puiset en passant par Montlhéry. Vers 1080, la salle du château accueille une grande assemblée d'évêques, de chevaliers et de religieux, invités à témoigner de la donation du comte Guy et de sa femme Adélaïde à l'abbaye de Marmoutiers-lès-Tours. Un prieuré bénédictin dépendant de cette abbaye est alors fondé. À la mort de Guy le Rouge en 1108, le domaine passe aux Garlande. En 1108 le prince Louis, futur Louis VI, assiège ce château sans succès. En 1120 Brethencourt passe avec Rochefort dans le patrimoine des Montfort dont il devint un des château. En 1181 Brethencourt fut dévolu avec Beynes à Guy de Montfort, frère de Simon IV, le futur chef de la croisade contre les Cathares.

Parenthèse sur un personnage: Guy de Montfort, tué à Varilhes le 31 janvier 1228, fut seigneur de la Ferté-Alais et de Bréthencourt, régent du comté de Sidon de 1205 à 1210 et seigneur de Castres de 1211 à 1228. Il était fils de Simon (IV), seigneur de Montfort et d'Amicie de Beaumont, comtesse de Leceister. En 1188, il prit part à la troisième croisade. Compte tenu du fait qu'il s'engagea également dans la suivante, il est concevable de penser qu'il resta en Terre Sainte quand le roi Philippe Auguste revint en France, et ne rentra qu'en 1992, en même temps que Richard Cœur-de-Lion. Frère cadet de Simon IV de Montfort, il s'engagea avec lui dans la quatrième croisade, en 1202. Arrivés à Zara, après avoir désapprouvé la prise de la ville, ils refusèrent le marché qu'Alexis Ange proposait aux Croisés, et qui consistait à payer le passage en Terre Sainte en échange de leur aide pour rétablir Isaac II Ange sur le trône. Il se rendirent par leurs propres moyens dans le royaume de Jérusalem, en embarquant à Barletta, dans les Pouilles. Arrivé à Jaffa, il rejoignent le roi Amaury II de Lusignan et participe à une expédition en Tibériade. Impressionné par la valeur des deux frères, Amaury souhaite les attacher à son service et autorise en 1204 le mariage de Guy avec Helvis d'Ibelin, veuve de Renaud de Grenier, comte de Sidon. Avec l'annonce de la fondation de l'empire latin de Constantinople par les croisés, Amaury comprend que l'armée croisée n'arrivera plus, et négocie une trêve de six ans avec le sultan mamelouk Al-Adel. Simon retourne en Europe, tandis que Guy reste exerce la régence du comté de Sidon au nom de son beau-fils Balian de Grenier. Guy et Helvis eurent deux enfants :

  • Philippe († 1270), qui lui succèdera à Castres, puis partit à son tour se croiser et deviendra seigneur de Tyr et de Toron.
  • Pernelle, nonne à l'abbaye Saint-Antoine des Champs à Paris.

En 1210 prend fin sa régence, Balian ayant probablement atteint sa majorité. Guy assiste au couronnement de Jean de Brienne le 1er octobre 1210, puis revient en Europe et rejoint son frère pour l'aider à mener à bien la croisade des Albigeois. En 1212, il met le siège devant le château de Montségur, mais en vain. Il combat ensuite aux côtés de son frère à la bataille de Muret (1213), au siège de Beaucaire (1216) puis à celui de Toulouse (1218). Il est blessé lors d'une sortie des Toulousains assiégés, et c'est en voulant le secourir que son frère Simon reçoit le roc qui lui sera fatal. La mort de Simon et l'incompétence de son fils Amaury firent que les seigneurs occitans reprennent leurs droits.

Pendant cette période, Guy de Montfort s'était remarié avec Briende de Beynes, veuve de Lambert de Thury, baron de Lambers. Ils eurent :

  • Alicie de Montfort, nonne à Port-Royal en 1259
  • Agnès de Montfort, nonne à Port-Royal en 1259
  • Guy II de Montfort, mort en 1254, baron de Lombers, mort en croisade

En 1224, Amaury cède ses droits sur l'Occitanie au roi Louis VIII le Lion, qui vient ensuite en faire la conquête. Guy participa au siège d'Avignon, qui dura trois mois. La ville se rendit au bout trois mois, mais la maladie força l'armée royale à se replier et le roi mourut sur le chemin du retour, à Montpensier. Guy resta combattre en Occitanie, et fut tué peu après alors qu'il assiégeait Varilhes, près de Pamiers. L'arrière petite fille de Guy de Montfort, Eléonore de Montfort herite du fief à la fin du XIIIs et l'apporte à son mari Jean V de Vendôme et ainsi entre dans cette famille. Pendant la guerre de Cent Ans, le roi d'Angleterre l'attribue à Claude de Beauvoir, le château souffrit en 1428 de l'assaut du terrible Salisbury. Il revient par la suite à la famille des Sanguin et elle fut acquise par les Hurault de Cheverny à la fin 15ème, revendue à la fin 16ème à la famille de l'Hospital-Sainte-Mesme, enfin resta la propriété des Rohan-Rochefort jusqu'à la Révolution. Louis XVI, après avoir chassé en forêt de Rambouillet, aurait pris un bol de lait à Saint-Martin-de-Bréthencourt.

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Les armes des Brethencourt - Montfort se blasonnent ainsi : D'azur au lion à la queue fourchée d'argent surmonté d'un lambel de quatre pendants du même.AU CENTRE BLASON MONTFORT-CASTRES.

III Plan des lieux :

En cours de réalisation

IV  Descriptif  du site:

1.Le château fort

1-1) Le site

Cette tour, autrefois barlongue, était dotée de contreforts plats au niveau des angles et sur les faces. Elle constitue le dernier vestige du château construit par Guy le Rouge vers la fin du XIe siècle. Les vestiges révèlent des murs de refend au niveau inférieur, qui comportait donc plusieurs salles. L'enceinte polygonale qui entourait ce donjon, presque tangente en un point, était formée de murailles sans tour de flanquement et bordées d'un fossé.

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1-2) La bayle "l'enceinte Nord"

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1-3) L'enceinte Haute

L'enceinte entourant le donjon était un polygone irrégulier d'environ 50 x 30m, épaisse de plus d'un mètre, sans tours de flanquement mais munie de corbeaux (échauguettes??).

a) Le mur Ouest

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b) Le mur Est

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1-4) La motte castrale

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1-5) Le donjon roman

Donjon rectangulaire à contreforts plats aux angles et sur les faces (en ruine) de la fin du XIs, situé sur une exploitation agricole ; à l'ouest du donjon, restes d'un mur d'enceinte polygonal. Ce donjon de part sa forme et sa taille est comparable au donjon roman de Chevreuse de la même époque (et du même seigneur). Il a des dimensions d'environ 16,50 x 13,50m et un mur de refend en séparait l'intérieur. On voit à l'intérieur les vestiges d'une console qui prouve qu'une partie du donjon était voûtée. Les murs encore existants sont hauts d'environ 8m pour une épaisseur de 2m.

a) L'extérieur

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b) L'intérieur

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c) Le mur de refend

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1-6) Les fossés

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2.Saint Arnoult en Yvelines

2-1) Le site

Ce territoire, primitivement inclus dans le domaine des Carnutes, dépend du castrum d'Hibern (Rochefort) pendant l'occupation romaine. Il est habité dès l'époque mérovingienne par des ermites, et le coteau nord de la vallée de la Renarde sert de nécropole, principalement au lieu-dit Les Chatras. Saint Arnoul, ou Arnoult, mort vers 535, est inhumé en ces lieux, et un premier sanctuaire est érigé à l'emplacement de sa sépulture. En 717, un prieuré est attribué par un diplôme de Chilperic II aux moines de Saint-Maur-des-Fossés. L'endroit étant devenu lieu de pèlerinage, Guy le Rouge, comte de Rochefort, vient s'y recueillir en rentrant de croisade et répand ensuite le culte de saint Arnoult autour de Paris. Son rayonnement parvient jusqu'à Crépy-en-Valois et Clermont pour atteindre Deauville en Normandie. Pilliée et incendiée au cours de la guerre de Cent Ans, en 1498, instauration par Louis XII d'un marché et en 1545, François Ier accorda le titre de cité qui autorisait la ville à s'entourer de fortifications et d'enceinte. La cité, pillée et ravagée au cours des guerres de Religion, retrouva ensuite une nouvelle ère de prospérité. En 1536, sous le règne de François Ier, le prieuré passe sous la juridiction de l'évêché de Paris. Le 30 avril 1702, il est cédé par l'évêque parisien à Charles de Rohan-Rochefort, qui le détient jusqu'à la Révolution. Quant au domaine de Saint-Arnoult, il revient à la mort de Guy le Rouge à son fils, puis aux Garlande, aux Montfort en 1120, aux Roucy en 1317. Il est intégré au patrimoine des Rohan au XVIIIe siècle, comme le prieuré. Parallèlement, les Pontbriand laissent leur empreinte au domaine du Mesnil, qu'ils conservent du XVe, au XVIIe siècle. Saint-Arnoult, situé à 50 kilomètres de Notre-Dame-de-Paris, est une halte de pèlerinage très fréquentée. En 1649, il figure comme « gite » sur l'itinéraire de Saint-Jacques-de-Compostelle. Au XVIIIe siècle, la localité est animée par l'activité de huit moulins à tan et à blé sur la rivière, et les caves voûtées font office de celliers et de greniers à grain.

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Les armes de Saint-Arnoult-en-Yvelines se blasonnent ainsi : De gueules aux six besant d'or.

2-2) L'enceinte urbaine

a) Le mur d'enceinte

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Rare témoin des fortifications de la ville, cette meurtrière (sur une tourelle des remparts) pratiquée dans la muraille est destinée aux mousquets.

meurtriere_saint_arnoult_en_yvelines

b) Les différentes tours

Élément de la porte de l'Isle, autrement dénommée porte au b'uf ou porte de Dourdan, cette ancienne tour (12 bis rue de l'Isle) faisait partie des fortifications élevées à la suite d'une lettre patente de François Ier. La construction des remparts dure de 1546 à 1578. L'ensemble comporte 5 portes, 3 tours d'angle et 4 demi-lunes dans la partie nord, ainsi que 3 tours d'angle et 2 demi-lunes dans la partie sud. Cette portion était doublée d'une sente et d'un fossé devenu « la Morte rivière ».

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2-3) La ferme du prieuré "de Saint Maur les Fossés"

Ancien grenier à blé aux portes de la Beauce, Saint-Arnoult possède des caves XIIIs à plusieurs niveaux destinées à entreposer le grain et le vin. Ces caves se situent sous d'anciennes auberges construites le long de la rue. Les ogives chanfreinées partent des gros piliers centraux et retombent sur des culots contre les murs (64, rue Charles de Gaulle). Le colombier XVs (rue des remparts) faisait partie de la ferme du prieuré bénédictin de l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. Cette bâtisse comporte 500 boulins situés à 1,30 mètre du sol, hors de portée du saut d'un rat.

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3.Gauvilliers "Ferme Fortifiée"

3-1) Le site

Au Moyen Age, Orsonville dépend probablement du prieuré de Saint-Martin-des-Champs, fondé à Paris en 1059 par Henri Ier. La ferme fortifiée de Gauvilliers est celle d'un fief du XVe siècle. Cette ferme fortifiée, construite à l'écart du bourg, est représentative des exploitations agricoles liées au régime féodal. Entourée de douves, elle conserve les flèches ou pièces en bascule, du pont-levis, ainsi que la bretèche qui contribuait à la défense du manoir grâce aux mâchicoulis et aux archères dont elle est pourvue. Le pavillon carré à la haute toiture signale l'entrée ; il abritait également le colombier.

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3-2) L'enceinte

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3-3) Les fossés

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3-4) Le chatelet

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3-5) Les logis

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3-6) Le donjon rectangulaire

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4.Clairefontaine en Yvelines"l'Abbaye"

4-1) Le site

Le nom de « Clairefontaine » vient du latin, clara fontana en référence aux sources d'eau limpide de la vallée de la Rabette.

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D'après la tradition, sainte Scariberge a choisi le site de Saint-Remy-des-Landes pour se retirer près du tombeau de son époux. Les grands défrichements du Moyen Âge en forêt d'Yvelines permettent l'implantation de deux grandes abbayes vers 1108 : Notre-Dame-de-Clairefontaine et Saint-Remy-des-Landes. En 1160, Simon III de Montfort et l'évêque de Chartres installent sur le territoire un couvent de religieuses bénédictines. De 1179 à la Révolution, 25 abbesses s'y succèdent. Mlle de Richelieu et Mme de Portal en sont les plus célèbres, et cette dernière, après s'être réfugiée pendant la Révolution à l'abbaye de Louye, près de Dourdan, est guillotinée pour avoir correspondu avec la famille de Rohan. Auparavant, la fondation religieuse avait été confiée aux chanoines réguliers de Saint-Augustin. Après une suite de procès au XVIIIe siècle entre les abbés et les chanoines, l'abbaye périclite. Par la suite, les bâtiments sont restaurés et occupés par des religieuses dominicaines. L'église abbatiale a longtemps accueilli les paroissiens. Tandis que les dominicaines continuent de mener une vie contemplative à l'abbaye Notre-Dame-de-Clairefontaine jusqu'à la fin du XXe siècle, l'église paroissiale, propriété de l'association diocésaine, est érigée en 1902. Une partie du mobilier de l'église abbatiale y est transférée. Des bâtiments de l'ancienne abbaye royale, ruinée pendant la Révolution, subsistent le cloitre, le cellier, la crypte, et un escalier monumental.

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Abbé de Notre-Dame de Clairefontaine, conseiller et aumônier ordinaire du roi François 1er et abbé de Saint-Martin-de-Troarn, Mathurin de Harville est décédé le 19 juillet 1584. Il est représenté sur la dalle funéraire avec sa mitre, sa crosse et son habit de prélat. L'abbé semble prier les yeux ouverts. Les armes de sa famille sont gravées dans les angles inférieurs.

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La pierre tombale de Jeanne Tramblai, morte en 1323, est fixée au mur de l'église à côté de celle de Guy de Rochefort, son mari, représenté en cotte de maille.

4-2) Le château XIXs

Cette villa est construite sur le site de l'abbaye bénédictine détruite pendant la Révolution. Elle est complétée d'une chapelle et d'un grand parc agrémenté de pièces d'eau. Le logis, couvert d'un toit à la Mansart, est une grande bâtisse rectangulaire. L'agencement de l'avant-corps est bien différencié du reste du bâtiment.

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5.Index et bibliographie:

- Châteaux forts et féodalité en Ile de France du XI au XIIIs: André Châtelain - 1983.

- Le patrimoine des communes des Yvelines: FLOHIC - 2000.

- Guide DESLOGIS-LACOSTE "Yvelines" 78: Michel de le Torre - 1992.

- Le guide du patrimoine "Ile de France": J-M Perouse de Montclos - 1994.

- L'Ile de France des châteaux forts: Christian Corvisier - 2004.

- Ile de France Gothique 2 "les demeures seigneuriales": Jean Mesqui - 1988.

- Histoire de Neauphle le Château et de ses environs du XIs à nos jours: Alfred Prud'homme - 1902 (red. 1990).

- Un village nommé Breval: Georgette Aucher - 1979.

- L'Ile du fort de Meulan et petite histoire des rues de Meulan: Madeleine Arnold Tétard - 1997 et 2006.

- Mantes médiévale "la collégiale au coeur de la ville": Agnès Barruol & Nicolas Faucherre - 2000.

- Histoire de Mantes et du Mantois à travers chroniques et mémoires des origines à 1792: Marcel Lachiver - 1971.

- Donjons romans des pays d'Ouest: André Châtelain - 1973.

- Châteaux forts "images de pierre des guerres médiévales": André Châtelain - 1983.

- Châteaux et enceintes de la France médiévale, de la défense à la résidence, tome I "Les organes de la défense": Jean Mesqui - 1991.

- Châteaux et enceintes de la France médiévale, de la défense à la résidence, tome II "La résidence et les éléments d'architecture": Jean Mesqui - 1993.

- Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen en France: Charles-Laurent Salch - 1979 (red. 1987).

- Dictionnaire des châteaux de France "Ile de France": Yvan Christ - 1978.

- Demeures médiévales "coeur de la cité": Pierre Garrigou Grandchamps - 1999.

- Les Cisterciens: Julie Roux - 2003.

- Pour comprendre les monuments de la France: J.A. Brutails - 1997.

- L'héraldique: Claude Wensler - 1997.

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